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les malheurs de Camille

by EMG

les malheurs de Camille

Je me prénome Camille, je suis un beau jeune homme de 18 ans. Ephèbe, je plais beaucoup aux filles de mon lycée. En couple depuis quelques mois, Laure et moi avions décidé de partir en vacances avec sa meilleure amie Athéna et son mec, Denis. J'étais un peu perplexe quant à la tournure de ce séjour dans la mesure où la compagnie de sa copine m'était plutôt désagréable, bien que physiquement elle soit loin de l'être, mais elle fait la gueule non-stop. Je me demande comment Denis peut la supporter h24... Quoiqu'il en soit, j'avais bien décidé de m'éclater. Je venais d'avoir mon bac, mon permis, le sejour sur Costa Brava s'annonçait mémorable.

Le voyage avec la vieille bagnole de mes parents c'était passé parfaitement. Cinq heures pour faire Valence-Figueres nous avaient suffit et je me sentais en forme pour attaquer notre premiere soirée en Espagne. On s'est installés vite fait sur un emplacement plutot paisible dans un camping tout ? fait respectable. La fin d'apr?s-midi agr?ablement fra?che nous a procur?e un sentiment d'apaisement sans pareil. Au frais, ? l'ombre des pins, deux trois bouteilles de ros? qu'on venait de se prendre au Supermercado du coin, comme des papes. L'ambiance apaisante de ces d?buts de soir?es o? le soleil n'en fini pas de se coucher, o? il fait si bon apr?s une bonne journ?e de cagnard de se sentir un peu joyeux apr?s deux trois verres... Les vacances commen?aient bien. On avait rep?r? un petit resto dans les environs qui avait l'air plutot sympatoche et on avait d?cid? d'y jetter un oeil un peu plus tard. On n'?tait pas press?s, d'autant que les otoctones ne font pas la f?te avant minuit minimum.

La soir?e se d?roulait bien, j'ai appris ? decouvrir Denis qui est un mec zen, vraiment sympa. On s'est tout de suite trouv? pas mal de point communs, l'alcool aidant, mais pas seulement. Ce que je pensais d Ath?na en revanche se confirmait, elle ?tait casse-couilles et de surcroit elle n'arr?tait pas de monter Laure contre moi en lui disant que je ne la respectait pas, que ceci ou cela n'?tait pas les r?actions d'un mec amoureux, qu'il devait plus se soucier du bonheur de sa nana. Cela m'?nervait passablement, d'autant que ce n'?tait pas faux... Je n'?tais avec elle que depuis trois mois et je sentais dej? que notre relation ?tait termin?e. Je l'avais tromp?e avec une fille du lyc?e deux semaines auparavant. J'?tais parti avec elle pour avoir une meuf sur place, lui faire plaisir ?tait le cadet de mes soucis. Je voulais juste m'?clater. Cruel, mais realiste.

Le soir venu, on est all? manger des tapas dans un petit resto en bord de mer. L'ambiance ?tait d?tendue, on se marrait bien ? discuter du lyc?e, des profs et de toutes les histoires de nos ann?es de lyc?e, des histoires de cul et de conneries en tous genres. L'heure tournait, on a d?cid? d'enchainer sur la f?te du camping. Pourquoi pas apr?s tout. Musique Salsa, ambiance de folie, grosse d?compression au rendez-vous, grande piscine bourr?e de gens bourr?s. On rit, on gueule, on boit, on rit plus fort, on reboit, on gueule encore plus fort. Laure et Athena sont parties se coucher. Denis et moi au taquet, ?clats de rires, nous plongeons habill?s, puis d?shabill?s... On a dans? et rencontr? un groupe de meufs bien cool, petit p?tard, puis discussions enflamm?es et bisous... Galoche avec une des nanas, puis baise rapide dans la pin?de. Merde ! Je me retourne et vois Athena au loin, j'esp?re qu'elle ne m'a pas vu. La soir?e continue, je suis mort. Je me couche ? cot? de Laure, met mon wakos et m'endors comme une masse.

Le r?veil est difficile, la tente est bouillante, innond?e de soleil. La barre dans le cr?ne. Je suis seul, j'ouvre la tente et je vois Denis dans un ?tat identique au mien, comateux, bouche p?teuse des lendemains de cuite. On bouge pour aller prendre le petit dejeuner ? une heure de l'apr?s-midi. Les meufs sont parties se ballader au march? et Ath?na semblait contrari?e selon Denis.

- J'esp?re qu'elle m'a pas vu avec la nana d'hier ?
- Aucune id?e, mon pote. En tout cas elle faisait la gueule, elle est partie sans bisous ni rien...
- Faut dire que t'as pas choisi la plus simple des filles du lyc?e.
- La plus casse-couilles tu veux dire, hahaha ! Mais bon, c'est mon genre les casses-couilles, sinon je m'ennuie, h?h?...

On a rejoint les meufs plus tard dans l'apr?s-midi, ? la plage. Bonne ambiance, pas de tirage de gueule. Je me dis que finalement Athena n'a pas du me voir. Il faut dire ce qui est, Ath?na en bikini est tr?s excitante... Denis a fait un choix qui se respecte. La journ?e se d?roule tranquilement, plage, visite du village, chaleur, maillot, baignade... Tout bien quoi.

Le soir venu, petit ap?ro, d?but de soir?e sympa. Je suis claqu?, envie de me coucher.

- On fait du sexe ? me dit Laure dans le creux de l'oreille.
- Normalement ?a ne se refuse pas, mais l? je suis ?puis? ma ch?rie.
- Tant pis.

Je m'endors, petite musique planante... Je r?ve, je suis entour? de femmes, elles me cajolent, elles me rassurent et sont ? la fois tr?s autoritaires. Je me sens prot?g?. Je suis un b?b?, l'une d'entre elles me lange comme tel. Je ressens une forte excitation, elle me gronde et me lange avec une grosse couche. Je suis au paradis, rassur?, pomponn?, dorlott?. Je suis tout petit, blotti dans ses bras enveloppants. Elle chante une berceuse. Je fais pipi dans mon lange, c'est chaud, c'est doux, elle me sourit, semble satisfaite. Je me r?veille en sursaut, en ?rection, Laure est endormie, il fait nuit, et c'est l'horreur ! J'ai piss? partout dans mon duvet, le tapis de sol est innond? ! J'essaie sans faire de bruit de sortir mon duvet et le tapis hors de la tente, pour ne pas attirer l'attention de ma compagne.

- Qu'est-ce que tu fais ? me dit-elle dans un demi-sommeil.
- Rien, rien... J'ai trop chaud, je me mets dehors.
- Ah bon ? Mais ton duvet est tremp?, tu as transpir? ?
- Euh... oui, c'est ?a. Je cr?ve de chaud.

Elle me tire la couette des mains et la renifle.

- Mais non ! Tu t'es piss? dessus, comment ?a se fait ?
- Ben je sais pas, c'est un truc de fou ! Ne le r?p?te pas, je t'en supplie, je suis d?sol?, dis-je au bord des larmes.

J'ai eu envie de me blottir dans ses bras, ce que je fis. Elle me r?conforta, me dit que ce n'?tait pas grave, que j'?tais son amour, son b?b? d'amour, que je devais ?tre epuis?. Je ressents un spasme, une contraction des muscles de la vessie, ?trange. Elle me caresse la t?te, je suis heureux, soulag?, honteux aussi... Puis excit?. Elle le voit :

- Mais c'est que mon b?b? est en pleine forme ! me dit-elle !

En effet mon sexe en disait long. On fait l'amour sur son duvet et on s'endort.

Au petit matin, je me l?ve vite. Je fonce aux douches, lave mon duvet et le matelas. Je l'ai fait s?cher sur un arbre ? cot? de la tente. Je me recouche avec Laure, on s'embrasse. On se l?ve vers midi. Aujourd'hui le temps est couvert, ?a sent l'orage ? plein nez. Tant mieux, la temp?rature devrait baisser. Ath?na se l?ve, elle s'approche de moi :

- Bonjour Camille, dit-elle de son air hautain habituel. Bien dormi ?
- Oui oui, un peu chaud.

Il me semblait qu'elle devait avoir chaud elle aussi, au vu de son maillot minuscule.

- Le temps est orageux, dis-je, r?veur.
- Tiens, tu fais s?cher ton duvet ? Pourquoi ? Tu as eu un accident cette nuit ? dit-elle en souriant.
- Oui... enfin non ! J'ai euh... Ma couette sentait le renferm?, je l'ai lav?e, voil? tout.
- Ah ok. Je plaisante, ?a fait longtemps que tu ne pisses plus au lit comme les m?me, n'est-ce pas ?
- En effet, Athena. Ca fait longtemps.

J'?tais terrifi?, elle me parlait comme si elle avait decouvert le pot aux roses. Elle va voir Laure et rigole en lui parlant a l'oreille, la prend par le bras et nous lance :

- On va ? la plage les gar?ons, si vous voulez venir nous rejoindre tout ? l' heure. On prend de l'avance, faut que je parle ? ma copine.

Petit clin d'oeil, je les vois marcher et rire; J'esp?re que Laure n'a rien dit, ?a serait un sale coup.

Une heure plus tard, alors qu'on s'appretait ? les rejoindre, une pluie torrentielle s'abat sur nous. Abrit?s sous la tente, Denis et moi entamons une partie d'?checs, ros? ? l'appui. Notre installation de campement tient bon. Les filles rentrent, tremp?es, en plein fourire. Elles rentrent dans l'autre tente pour se s?cher et s'abriter.

Une accalmie nous motive tout les quatre ? rejoindre le bar du camping. On commande un pichet de sangria, une paella, on picole et on rigole pas mal. Quelques minutes plus tard, une forte envie d'uriner me prend tout a coup. Je fonce au toilette, alors que quelques gouttes perlent d?j? dans mon maillot ! Malheur, je suis en train de me faire dessus ! Hallucinant, je limite les d?gats, je m'essuie de mon mieux dans les toilettes, puis je fonce ? la tente. Laure m'aper?oit au loin. Je me d?shabille en vitesse pour enfiler un autre maillot. Mais qu'est-ce qui m'arrive ?! Laure ouvre la tente :

- Ca va ch?ri ? Oh, mais tu es tremp? ! Qu'est-ce qui s'est pass? ? Tu peux me dire ?
- Je ne sais pas ch?rie, dis-je balbutiant. Je n'ai pas pu me retenir...

Je fonds en larmes et pose ma t?te sur son ?paule.

- C'est une catastrophe, je comprends pas ce qui se passe, c'est affreux.

Elle me caresse la t?te et me chuchotte ? l'oreille :

- C'est pas grave, mon b?b? d'amour. Je t'aime tu sais, m?me si tu te pisses dessus, ce n'est qu'un mauvais moment ? passer. Tu vas te ressaisir, j'en suis s?re.

Ses mots rassurants me comble de bonheur, je plane un instant. Elle me tapotte les fesses et me dit :

- On va trouver une solution, ne t'inqui?te pas mon b?b?.

Je sens de nouveau une contraction musculaire dans la vessie et l?, comble de l'horreur, un flot d'urine se d?verse sur mes jambes !

- Mon dieu, je sens plus quand je pisse ! Faut que je prenne vite rendez-vous chez le medecin, c'est peut-?tre grave !
- Ok cheri, je vais prendre les choses en main. Ne bouge pas d'ici. Je vais parler aux autres, leur dire que tu es mal,
que tu dors un peu. Je reviens, je vais r?soudre ce probl?me.

Je cogite dans ma tente, que m'arrive-t-il ? ?a a un lien avec mon r?ve de cette nuit ? Je suis angoiss?, je reste l? ? attendre, les bras ballants, abassourdi. Laure revient une heure plus tard avec un ?norme paquet dans les bras :
- Qu'est-ce que c'est ?
- Il n'y avait pas plus petit...
- Mais c'est... C'est des couches culottes ! Je mets pas ?a, ?a va pas la t?te ?!
- Ecoute cheri, j'ai essay? de prendre rendez-vous avec un m?decin, mais la pharmacienne m'a dit qu'un dimanche seules les urgences d'un h?pital de Barcelone pourraient te prendre. De plus, je pense que les medecins d'ici sont mauvais, on prendra rendez-vous demain. Alors en attendant mon coeur, il s'agit de limiter les d?gats ! J'esp?re qu'elles vont t'aller, elles sont un peu ?paisses, mais tr?s absorbantes. Tu veux que je te la mette ?

A ma grande surprise, je r?ponds oui... Au moment de refermer la couche, la situation devait m'exciter car mon zizi ?tait tout dur. Elle me dit :
- Mais c'est que mon b?b? est un peu... tendu !

Je fais oui de la t?te, jouant le jeu.

- Une seule solution !

Elle commence un mouvement de va et viens. En deux trois aller-retours, c'?tait pli? ! Elle rabat vite le devant de la couche au moment crucial, j'explose dans ma couche, l'extase...

- H? ben, ?a va mieux mon ch?ri ? Soulag? ?

Elle referme les adesifs et me voil? envelopp? tel un nourisson. Honteux, ?puis? par tout ce stress, je mets mon walkman, une petite sieste me fera du bien et ?a m'?vitera de sortir. J'ai pas trop envie de montrer aux gens que je porte des couches-culottes ! Laure se penche au dessus de moi et m'embrasse le front. Elle est tr?s maternante, bizarement cela m'excite, je tombe amoureux je crois... Je m'endors.

Je r?ve. Je suis dans une chambre sombre, dans un lit a barreaux. Je pleure, j'appelle ma nounou. Elle arrive, me rassure, me prend dans les bras. Elle tapote mon derriere bien garni. Elle sourit, me chuchotte des gentilles choses ? l'oreille, elle me caresse la t?te. Je fais pipi, elle m'encourage, montre sa satisfaction. Je sens que me soulager dans mes couches la comble de joie. Je me retiens de me vider les intestins, elle me regarde d'un oeil noir et p?n?trant. Elle me gronde, me dit qu'il faut tout faire dans ses couches, que c'est l'unique moyen de se sentir bien. Je pleure, je pousse, son visage s'illumine de bonheur. Je veux lui faire plaisir, elle me fait tant de bien. Je pousse tr?s fort, une masse chaude rempli ma couche. Elle est combl?e, ?a se voit. Elle rit ? gorge deploy?e, son rire est intimidant. Elle me caresse la t?te et tapote mes couches pleines, je suis si bien. Elle me recouche et chante une berceuse.

Je me reveille dans la p?nombre du d?but de soir?e. J'ai froid et ?a pue ! Je viens de me faire dessus, dans ma couche ! Merde, je n'y crois pas. Je me souviens de mon r?ve, c'est horrible. Mes r?ves ont un impact direct sur moi. Je suis seul dans la tente, heureusement. Mais j entends Athena, Laure et Denis discuter ? l'ext?rieur. J'entends distinctement Denis dire ? Laure :

- J'esp?re que c'est pas trop grave ce qui lui arrive.
- J'esp?re aussi, r?pond Laure, mais je lui mets des couches pour ?viter les accidents.
- Laure, si tu as besoin d'aide, les gamins merdeux je connais, dit Athena. J'en garde tous les weekd-ends pour arrondir les fins de mois. Je sais les matter, hahaha !

Laure rit aussi. Je commence ? paniquer, faut que je nettoie ?a vite fait, sans me faire rep?rer. Mais l'ombre dans la tente me trahi.

- Tiens, regarde Laure, ton jules a l'air d'?merger. Tu devrais peut-?tre aller voir s'il faut pas le changer ! Si tu veux un coup de main, je suis l?, dit-elle en s'esclaffant.
- Je vais voir...

Laure ouvre la fermeture de la tente, elle entre. Athena scrute l'interieur, se rapproche et dit :

- Mais ?a sent le popo ici ! Ton b?b? se l?che totalement ma ch?rie. Il faut r?agir, appelle super-nanny !

Elles se regardent et ?clatent de rire. A ce moment l?, je voulais crever, c'?tait la pire honte que j'avais jamais ressentie. Mais ce n'?tait rien compar? ? la suite des ?v?nements.

Je me cache dans mon duvet et ordonne ? Laure et Athena de partir. J'entends Athena murmurer ? Laure:

- Maintenant, montre-moi si ?a marche, vas-y !

Laure s'approche de moi, me caresse la tete. Elle m'embrasse le front, me sert dans ses bras, me sussure ? l'oreille que ce n'est pas grave, que je suis son gros b?b? ador?, que personne n'a le droit de faire du mal ? son b?b?. Je me rel?ve et pleure ? chaudes larmes dans le creux de son ?paule. Elle tapote ma couche bien remplie et dit :

- C'est pas grave, tu es mon b?b? rien qu'? moi.

A ce moment pr?cis, je me retrouve plong? de nouveau dans mon r?ve de tout ? l'heure. Comme en trance, je cri ouiiiiiiii, comme une lib?ration ! Des spasmes jouissifs me submergent. Je jouis dans ma couche de toute mes forces, tout en vidant la totalit? de mes intestins...

Laure me tient fort, m'embrasse dans le cou et me dit : - je t'aime, rendors

- Toi maintenant, mon b?b?...

Elles sortent et j'entends Athena dire :

- Ca d?passe tout ce que je pouvais imaginer...

Snap ! Je m'effondre... Dans un demi-someil, je sens une odeur ?pouvantable. On s'affaire ? mon entre-jambe. C'est frais et doux, puis, sec, moltonn?... Je suis bien, apais?. J'entends une berceuse, je remplis ma couche, puis on me tapote les fesses. Je pousse de toutes mes forces pour rendre heureuse ma nanny. Je lui demande si elle est fi?re de moi, elle dit :

- Oui, Laure ta nanny est fi?re de toi !

J'entends un claquement de doigt, puis plus rien, le noir total.

Je dois dire que les jours suivants furent extr?mements flous. Je dormais beaucoup, Laure m'apportait beaucoup ? boire, elle me donnait ? manger des pur?es, des bouillies, me changeait mes couches. J'?tais inerte, je mangeais, je jouissais, je chiais et pissais... Dans quel ordre ? Je ne sais pas. Ce que je sais c'est que Laure s'occupait bien de moi, elle ?tait tr?s complice, me massait les t?tons, me parlait dans le creux de l'oreille. C'etait comme si d'un coup, elle ?tait toute ma vie, mon unique et seule amie, confidente, maman, nanny, dominatrice ? Tout ! Ma vie ?tait "Laure". Mon monde se r?sumait ? elle.

Un matin, je me reveille et je vois son visage devant le mien ? quelques centim?tres. Elle me fixe et dit :

- Ecoute-moi attentivement. Athena savait ? quel genre de porc elle avait affaire avec toi, elle m'avait mise en garde. Elle t'a film? le soir o? tu as couch? avec l'autre connasse, le premier soir en plus ! On a decid? de te donner une le?on que tu ne pourras pas oublier, car ?a sera ? tout jamais ton mode de vie. Une le?on pour la vie ! La m?re d'Athena est hypnotiseuse, elle a concoct? des musiques MP3 d'hypnose sp?cialement pour toi, ? la demande expresse de sa fille ch?rie... On les a introduits dans ton lecteur. Chaque nuit, tu as ?cout? de tr?s puissantes suggestions d'hypnose et ?a a extr?mement bien march? ! Tu r?ponds parfaitement aux suggestions, c'est rarissime ? ce point ! Ce qui peut prendre des mois, voire des ann?es d'apprentissage, de lavage de cerveau, n'a pris que deux semaines pour toi... H? oui, deux semaines d?j? ! J'ai commenc? ? te droguer ? partir du deuxieme jour pour que tu r?pondes mieux aux suggestions, les doses t'ont mis dans un comas prolong?. Ne t'inqui?te pas mon b?b?, maintenant tu m'appartiens. Tu es ? moi pour toujours, corps et ?me...

Elle reprit :

- Tu as du constat? quelques changements dans ton comportement ? Certains mots-cl?s tels que "b?b?" ou "couche", ou "t?t?e", te procurent de dr?les de sensations n'est ce pas ? Le fait de jouir en faisant popo te plait ?

Je n'arrivais pas ? r?pondre, j'?tais assom?, ?tourdi par ces r?v?lations.

- Ce n'est pas tout, la berceuse qui tournait en boucle dans ton walkman te replongera imm?diatement en trance quand tu l'entendras. Trance pendant laquelle je pourrais continuer ? te programmer selon mes d?sirs.

A cet instant, je fondais en larmes, me blotti contre elle, pleurant comme une madeleine.

- C'est bien mon b?b?, tu apprends vite. Moi seule peux te donner les choses de la vie, plaisir, joie, bonheur, tendresse, mais aussi peur, terreur, menaces, angoisses. Je suis tout pour toi d?shormais. Sans moi tu n'es rien, sans vie, comme une marionnette sans le marionnettiste. Allez va, tu sais comment me rendre heureuse n'est-ce pas ? Alors vas-y, maintenant !

A cet instant, j'ai joui sans m?me ?tre en ?rection. Je me pissais dessus et poussais de tout mon ?tre dans mes couches. Elle me serrait fort, mes couches allaient exploser tant elles ?taient pleines d'excr?ments. Le pire, c'est que ce type de jouissance ?tait tellement intense que jamais je n'aurais pu imaginer avoir un tel plaisir. J'en tremblais, vague apr?s vague les spasmes ?taient monstrueux.

- Voilaaaaaaa.... c'est bien mon b?b?, je suis heureuse. Sais-tu qu'un simple claquement de doigts de ma part peut t'endormir instantan?ment ?

Snap !

Je me r?veille, elle me sourit.

- Bon, pour l'avenir, soyons clairs. Tu viens vivre chez moi ? Valence en toutou ob?issant. Quelques r?gles ? suivre pour que les choses tournent bien pour toi et que je ne sois pas oblig?e de te torturer. Premi?rement, tu m'appartiens comme un chien ? son ma?tre, c'est ? dire que tu obeis au doigt et ? l'oeil. Deuxi?mement, tu vas couper les ponts avec la totalit? de ton entourage, except? tes parents et ton fr?re que je t'autoriserai ? voir occasionnellement. Troisi?mement, tu ne pourras pas te faire de nouveaux amis, sous peine de punitions s?v?res. Enfin, tu devras me contenter au maximum et devancer tout mes desirs. Seulement alors je te ferais connaitre tes plus grandes jouissances, car la jouissance que je viens gentiment de te prodiguer n'est qu'un avant-go?t du pouvoir que j'ai sur toi.

Elle reprit :

- Je n'attends pas de r?ponses, ces r?gles sont tes r?gles. Ta vie ? partir d'aujourd'hui, Camille ! Denis et Athena sont rentr?s avant-hier. Athena est fi?re de tes progr?s et moi aussi ! N'oublie pas, si tu veux te venger d'elle, qu'elle d?tient pas mal de photos embarassantes... Donc pas d'entourloupes b?b? cadum ! Bon, la voiture est pr?te. Tu replies la tente et c'est parti. En route pour notre nouvelle vie, ?a va ?tre magnifique Camille ! Magnifique pour nous deux, tu vas adorer ! Hahahahaha !


Fin


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